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A priori dans ToB, il y a un dialogue par couple de persos, hors romance, très rarement deux. Et à ma connaissance, le déclenchement se fait de préférence lorsqu'il ne se passe rien. Donc si vous avez regardé la soluce et que vous vous précipitez pour pourfendre l'ennemi, les occurences seront plus rares. Le piquant des dialogues dépendra également de la rencontre des alignements, et du style des personnages (Imoen la facétieuse, Jan le bavard, Edwin le ronchon...)

Je pensais tout d'abord qu'il serait illusoire de vouloir dresser la liste de toutes les possibilités, mais vous trouverez finalement ci-dessous la presque totalité des dialogues, hors romance. Vous pouvez bien entendu participer encore à cette récolte en m'envoyant ce que vous avez pu noter. Colargol et Legolas ont très largement contribué à cette collecte, et leurs claviers doivent en être encore chauds!

Je vous conseille fortement les dialogues Minsc/Aérie, Keldorn/Imoen, Valygar/Haer'Dalis, Minsc/Jan, l'aller/retour Korgan/Mazzy ou encore Korgan/Edwin. Enfin le dialogue Haer'Dalis/Imoen nous rappelle qu'Haer'Dalis aurait été le deuxième PNJ pressenti pour une romance, mais que les persos féminins ont dû se contenter d'Anomen faute de temps, ce qui est bien dommage.
Et un petit ajout de "J.R.R. Tolkien" pour un dialogue Viconia/Jan assez savoureux.

  Aérie/Anomen (merci à Legolas)
Aerie : Regardez, Anomen, le… le soleil se lève…
Anomen : Oui, tel un puissant oiseau de feu… Vous ne parlez pas beaucoup, n'est-ce pas ?
Aerie : Que voulez-vous dire ?
Anomen : Tu hésites comme si tu réfléchissais à ce que tu diras ensuite. Les chevaliers comme moi doivent sans arrêt parler aux gens.
Aerie : Est-ce… est-ce que votre épreuve vous effraie ?
Anomen : Ha, je n'ai pas le temps d'avoir peur. Et en plus… l'Ordre ne pourra pas m'évincer longtemps.

  Aérie/Edwin (là, Edwin ne se fatigue pas et c'est une des rares fois où il a le dernier mot)
Aerie : Je... je suis venue voir pourquoi tu es si arrogant, Edwin. Les pouvoirs magiques peuvent devenir... enivrants. Même moi, je peux le sentir quand je lance des sorts pendant les combats.
Edwin : Hmpf ! Tu ne sais rien du pouvoir, mon enfant. Ta valeur est insignifiante comparée à la mienne.
Aerie : Crois-tu vraiment ? Ton attitude est stupide ! Même toi, tu dois reconnaître que la force de tes amis ne peut être que bénéfique.
Edwin : Je ne reconnais rien du tout.
Aerie : Tes refus n'ont aucun sens ! Ne suis-je pas l'égale de tes pairs ? N'ai-je pas prouvé ma valeur ?
Edwin : Mon enfant, tu te fais une fausse idée de mon caractère. Mon " arrogance " ne vient pas de mon talent, mais du fait de savoir que je te suis largement supérieur.
Aerie : Tu es vraiment... oh !
Edwin : Oui, et je le resterai. Maintenant, si tu veux ta petite tape sur la tête, je veux bien... mais tu ferais mieux de chercher une autre compagnie.

  Aérie/Haer'Dalis (1)
Aerie : Haer'Dalis... Tu regardes notre chef bizarrement depuis quelques heures. Tu ne crois pas que c'est un peu dur ?
Haer'Dalis : Je n'arrive pas à en détacher mon regard. Dans la Garde Fatale, nous apprécions les forces de l'entropie qui sèment la destruction dans leur sillage... et à chaque jour qui passe, je vois une incarnation de cette force prendre forme devant moi !
Aerie : Je te comprends. C'est un peu déconcertant, n'est-ce pas ? Je me demande comment (Votre perso principal) arrive à le supporter ?
Haer'Dalis :Oh, non. Ce n'est pas du tout ce que je voulais dire, petite colombe triste. Je crois que je n'ai jamais vu une transformation aussi magnifique !
Aerie : Vraiment ?
Haer'Dalis : Oui. Je vois toujours cette image de l'Ecorcheur... et à l'idée de ce que (Votre perso principal) pourrait bientôt devenir, tout mon être frissonne de plaisir ! Est-ce que tu imagines ?
Aerie : Parfois, je te trouve étrange, mon barde.
Haer'Dalis : Oh, sans aucun doute, ma colombe. Sans aucun doute.

  Aérie'Haer'Dalis (2)
Aerie : Dis... Parle-moi un peu de Sigil, mon barde. Crois-tu que nous irons là-bas un jour ?
Haer'Dalis : Si nous posons un jour les yeux sur la Cité des Portes, ma colombe, c'est que cela était écrit. Certains arrivent souvent à Sigil sans le vouloir, et d'autres cherchent la ville sans jamais la trouver.
Aerie : Oh, je suis sûre que je pourrais nous ouvrir un passage, si c'était nécessaire. Ce ne doit pas être très compliqué.
Haer'Dalis : A ta place, je ne parlerais pas des passages avec autant de légèreté, Aerie. C'est ton innocence qui parle, je le sais... mais il faut redoubler de prudence lorsqu'on touche au domaine des plans.
Aerie : Je ne suis pas une débutante en magie, Haer'Dalis, et j'aimerais que tu cesses de me parler comme si j'en étais une. Les plans ne sont pas aussi dangereux que tu le prétends pour ceux qui ont notre pouvoir.
Haer'Dalis : Peu importe l'étendue de tes pouvoirs, ma colombe. Il existe toujours un plus puissant que toi. Et c'est encore plus vrai dans les plans.
Aerie :Très bien. Oublie ce que je t'ai dit.

  Aérie/Imoen
Aérie:
Je voudrais te poser une question, Imoen. Toi aussi, tu as été souillée par Bhaal... Cela veut-il dire que tu peux aussi te transformer en écorcheur?
Imoen: J'espère bien que non. Mais... j'y pense de plus en plus ces derniers temps, moi aussi.
Aérie: Ce doit être horrible. Je me demande comment (le perso principal) réagit.
Imoen: Oui... mais il/elle a aussi vécu plus longtemps avec. Parfois, quand tout est calme, je peux entendre mon âme souillée me murmurer des choses horribles. J'ai presque envie de les hurler pour que ça cesse.
Aérie: Gasp! Tu... tu n'as jamais fait ce que disait ton âme j'espère?
Imoen: Heu... en dehors de la fois où je me suis levée en pleine nuit pour dévorer un sac plein de biscuits à la cannelle, non.
Aérie: Oh, beurk... quoi? Des biscuits à la cannelle?
Imoen: Haha! Allons, Aérie! Détends-toi! Je vais te dire... si jamais j'ai envie de t'assassiner au beau milieu de la nuit, tu seras la première prévenue. D'accord?
Aérie: Ce n'est pas drôle, Imoen. (Votre perso principal) ne plaisante jamais à ce sujet.
(Vous intervenez à ce moment-là..)
Après réponse sérieuse:
Imoen: Oh, mais pardon, votre Eminence... Bon, je repars en bout de ligne jusqu'à ce que ma tête explose. Pffff...
Après réponse pas sérieurs:
Aerie : Je vois. Tout le monde a décidé de se moquer de moi. Je vais prendre mes distances, merci..

  Aérie/Jan (La fascination des contes.. une révélation de Colargol)
Aerie : On dirait que tu boîtes, Jan. Te serais-tu blessé reécemment ?
Jan : Non, ma belle, je ne suis pas blessé et ma jambe n'est pas neuve. Je l'ai depuis aussi longtemps qu'on se connaît. C'est une jambe de bois, tu vois ? Il y a quelques années, je faisais du trafic de biscuits du côté d'Eauprofonde. Ouais, le Conseil les avait interdits à cause de la dépendance et de la débauche que ça entraînait. Je pouvais pas laisser passer une occasion pareille…
Le Conseil avait bloqué tous les ports et mobilisé l'armée pour freiner la contrebande de biscuits. La ville était fermée, la loi martiale avait été proclamée et les gens se planquaient chez eux en rêvant de biscuits. Je ne pouvais rester à ne rien faire alors que les innocents d'Eauprofonde subissaient une telle persécution ! Alors j'ai fait de la contrebande de biscuits. Salés, pas salés, aux herbes, tout ça… sans distinction. Ils venaient tous me voir pour se taper des orgies de biscuits.
Et puis il y a eu cette sale histoire de pendaison. J'avais jamais vu Corniplume écarquiller autant les yeux depuis le jour où une wyverne lui avait botté le c… (oups ! Faut que je surveille ma langue pour la petite elfe) euh… le bras (ouais, on va dire ça). La morale de cette histoire, c'est qu'on récolte ce qu'on vole. J'ai encore un entrepôt plein de biscuits salés. J'en envoie tous les ans une boîte à mes amis. Résultat, j'ai de moins en moins d'amis, mais il fallait s'y attendre
Aerie : Mais… quel rapport avec la jambe de bois?
Jan : Quelle jambe de bois? J'ai pas de jambe de bois ?
Aerie : Grrrr! Tu es vraiment IMPOSSIBLE!
Jan Jansen : Oui, tu as surement raison. Hé hé …

  Aérie/Minsc (ou la perfidie)
Aérie:
Minsc, parle-moi donc un peu de la Rashéménie? Tu m'en as déjà parlé, mais sans jamais la décrire... et je n'ai jamais entendu quelqu'un d'autre mentionner ce lieu.
Minsc: C'est parce que la Rashéménie est très loin d'ici. Bouh avait commencé à compter le nombre de pas que j'avais fait depuis le début de mon périple, mais il a oublié depuis... Bouh dit que c'est un chiffre énorme. Peut-être même plus grand que le nombre de fesses que Minsc a bottées depuis son départ. J''ai du mal à y croire, mais en général on peut se fier à Bouh pour ce genre de choses.
Aérie: Oui... la Rashéménie est très loin. Mais dis-moi à quoi ça ressemble? Tu aimerais y vivre?
Minsc: C'est un endroit merveilleux, plein de champs. Mais ce serait encore mieux si tous les rôdeurs de la Loge des bersekers avaient leur hamster. Imagine ce que ça donnerait!
Aérie: Et les sorcières? Tu disais que Dynaheir en était une, n'est-ce pas?
Minsc: Oui, Dynaheir était une grande sorcière rashémène. Mais je ne suis pas sûr que les sorcières aient besoin d'un hamster. Dynaheir n'a jamais vraiment apprécié Bouh... Elle le regardait souvent et Bouh avait peur des fois.
Aérie: Hi hi! Bon, oublions le sujet, gros ballot!

  Aérie/Nalia
Aérie:
Nalia, j'ai remarqué que tu étais très calme dernièrement, je dirais même lugubre. Est-ce que... quelque chose ne va pas?
Nalia: Ce n'est pas parce que je n'exprime pas chacune de mes pensées que quelque chose ne va pas, tu comprends.
Aérie: Oui, mais tu étais plus amicale avant.
Nalia: J'ai l'esprit très occupé, Aérie. Je ne suis plus la petite fille désespérée de sauver son château. Je suis archimage maintenant... je pourrais m'occuper de ces trolls aujourd'hui si'l le fallait.
Aérie: Cela ne t'oblige pas à changer, Nalia. Tu es toujours la même au fond de toi, n'est-ce pas?
Nalia: Lorsqu'on a le pouvoir de désintégrer quelqu'un avec la pensée, il faut redoubler de prudence, Aérie. Tu devrais le savoir, toi aussi.
Aérie: Inutile de me parler comme à une enfant. Je comprends ce que tu veux dire... mais tu t'inquiétais plus de nous avant.
Nalia: Et je continue. Ce n'est pas en se plaignant qu'on arrange les choses. Mais en obtenant le pouvoir de le changer réellement. Mais assez parlé... nous avons autre chose à faire.

  Anomen/Aérie (la finesse du bull terrier)
Anomen: J'ai une question, Aérie. J'ai entendu parler de votre peuple, les Avariels, pourchassés jusqu'à l'extinction par les mages désireux d'utiliser leurs ailes. Comment se fait-il que vous ne soyez pas plus outragée que cela?
Aérie: Je pense que c'est une chose terrible Anomen, mais que puis-je y faire?
Anomen: Vous pourriez les défendre. Votre vie devrait être vouée à la lutte contre leur extinction. Cela serait mieux que de ne rien faire, en tout cas.
Aérie: Mon peuple disparaît aussi, parce que nous sommes des isolationnistes, Anomen. Pas seulement parce que nous sommes pourchassés. Et ils savent se défendre... mon aide ne servirait à rien. Et je doute qu'ils accepteraient mon aide. Ils ne me considèraient plus comme un Avariel car je n'ai plus d'ailes. Il est... probablement préférable que j'évite de les rencontrer.
Anomen: Je suis désolé Aérie. Je n'avais pas l'intention de raviver vos anciennes blessures. Bien souvent, je ne sais pas choisir mes mots.
Aérie: Non, ce n'est pas grave, Anomen. Je devrais sûrement me faire à l'idée qu'il faudra que je retourne un jour à Faeny-Dael. Ne serait-ce que pour les affronter. Mais certainement pas maintenant.

  Anomen/Edwin
Anomen : Sachez que je vous surveille d'un oeil infaillible, Edwin. J'ai remarqué vos regards fuyants, et je ne tolérerai pas la moindre trahison.
Edwin : Peu m'importe ce que tu penses, pauvre sot, quels que soient les mots que tu emploies. Tu devrais me remercier pour ma surveillance. Rares sont les rivaux qui en sont dignes, en dehors des Sorciers Rouges.
Anomen : Je n'ai rien à voie avec les vôtres ! Cessez de jacasser et avancez !
Edwin : Oui, tu n'as rien à voir. Et ça ne s'arrange pas à chaque jour qui passe. Hmmm…

  Anomen/Keldorn
Anomen : Sire Keldorn, en tant qu'initié de l'Ordre, j'ai entendu moult histoires relatant vos prouesses et votre courage. Un jour, Sire Cassius a même cité votre héroïsme dans la Plaine du Géant. Mais il s'est soudain tu, le regard sombre, et n'a plus dit un mot. Que s'est-il passé là-bas ?.
Keldorn : Mon héroïsme, dis-tu ? Les louanges de Cassius sont bien supérieures à mon mérite. Notre aventure dans la Plaine du Géant était bien sombre, et nos prouesses bien plus sombres encore. Nous avons été capturés par Rath Grimace dans un embuscade, après avoir été trahis par le seigneur Taerga. Rath nous a surpris alors que nous avancions en guidant nos montures. Les archers n'ont fait qu'une bouchée de nos cavaliers et ont tué près de la moitié de mes hommes. En armure, nous n'avions aucune chance. Rath nous prit nos vêtements, ceux des morts comme ceux des survivants. Une flèche m'avait transpercé l'épaule. Ses ogres avaient eu la gentillesse de l'arracher avec un gros bout de chair avant d'entamer la Danse. Je sens encore la douleur.
Anomen: La Danse ?
Keldorn: La Danse était la signature de Rath. Chaque chevalier survivant était attaché à un compagnon d'armes massacré. Tête contre tête, les mains et les pieds liés. Il nous a ensuite traîné dans la plaine pour nous ligoter de manière à ce que nous ne puissions plus bouger, c'était notre danse de la mort... les cadavres se décomposaient lentement et mes hommes mouraient les uns après les autres. J'ai réussi à couper les liens autour d'un de mes poignets avec une pierre qui dépassait du sol. J'ai sauvé ceux qui pouvaient encore l'être, notamment Cassius. Des hommes étaient morts pendant la Danse, d'autres étaient devenus fous en voyant les cadavres de leurs compagnons pourrir au soleil. J'ai suivi Rath. Je me suis glissé dans son campement et je l'ai tué, ainsi que tous ceux qui avaient participé à ce massacre.
Il n'y avait aucun héroïsme, Anomen... la mort était brutale et mes exploits sinistres. Je ne veux plus en parler.

  Anomen/Valygar
Anomen : Valygar, votre pas me semble bien traînant aujourd'hui. Est-ce le fardeau de vos pensées qui vous alourdit ainsi ?
Valygar : Mes pensées sont en effet bien sombres, Anomen. Mais elles ne regardent que moi seul.
Anomen: Pour apaiser votre coeur et votre âme, vous devriez peut-être vous confier, mon ami.
Valygar: Et comment, chevalier ? Les mots ne peuvent ni modifier le passé, ni changer le futur. Je préfère laisser mes actes parler à ma place.
Anomen: Je ne voulais que vous offrir ma sagesse et mon aide, Valygar. En tant que membre de l'Ordre du Coeur Radieux, mon devoir est de soulager de leur misère tous ceux qui souffrent.
Valygar: Une bien noble cause, mais tu devrais accomplir ton devoir ailleurs. J'ai appris à parfaitement gérer mes souffrances.
Anomen: A votre guise, Valygar. Je ne vous importunerai plus - mais je vais prier Helm de vous aider à supporter votre fardeau.

  Cernd/Mazzy
Cernd : Je dois reconnaître, Mazzy, que tu es vraiment unique, comparée aux autres petites-gens que j'ai pu rencontrer
Mazzy : Que veux-tu dire ?
Cernd : Je ne voulais pas t'offenser, bien sûr. Tu as assurément trouvé ton harmonie intérieure, pourtant tu es bien loin de ton terrain habituel.
Mazzy : Je n'y pense pas beaucoup. Je voulais simplement faire quelque chose de ma vie. Mon foyer me manque encore, mais... mais...
Cernd : Des regrets ? J'espère que non. Tu es un brillant exemple pour nous tous.
Mazzy : Merci, mais parfois je... enfin ! Nous aurions tous pu être autre chose. Quelqu'un d'autre.

  Cernd/Viconia
Cernd : Tu es à la surface depuis assez longtemps, Viconia. Dis-moi... as-tu ressenti les effets qu'une exposition prolongée au soleil provoque normalement chez ceux de ta race ?
Viconia : Par exemple une envie incontrôlable de broyer la crâne d'un humain trop curieux ? Si, cela m'arrive... mais c'est temporaire.
Cernd : Non, non. Je parlais de la perte de tes capacités d'elfe noire, par exemple votre résistance naturelle à la magie.
Viconia : J'ai perdu ma résistance aux beaux gosses, joli druide. On ne t'as jamais dit à quel point tu étais viril ? Viens plus près, Cernd... explorons plus profondément cette idée, tous les deux.
Cernd : Euh, non merci. Ma curiosité était purement biologique, Viconia.
Viconia : Je connais beaucoup de secrets sur la biologie, jaluk.
Cernd : Je... je n'en doute pas.
Viconia : Lâche.
Cernd : Peut-être, mais vivant. Mille excuses...

  Edwin/Jan
Edwin : Cela suffit, gnome ! Je sais que tu inventes encore un de tes nouveaux mensonges en me regardant ainsi !
Jan : Ne sois pas aussi susceptible. C'est juste que, sous cet angle, tu me rappelles beaucoup mon oncle Ager des Grimoires.
Edwin : Ah, et je suppose qu'il avait le visage drôlement déformé, ou qu'il lui manquait une case, ou que sa puanteur insoutenable faisait fuir même les étoiles, ou une autre de tes inventions à peine déguisée pour UNIQUEMENT me diminuer aux yeux des autres !
Jan : Heu, non... c'était un mage. Dis-moi, Edwin, tu as des ennuis chez toi ?
Edwin : (soupir) Va t'en gnome. Va t'en.

  Edwin/Viconia
Edwin : Viconia, je crois que j'ai maintenant un plus grand respect pour ton... heu... intensité au cours de nos voyages.
Viconia : Et moi, j'ai fini par mieux apprécier le son de ta voix depuis que j'ai entendu pour la première fois ce ton nasillard.
Edwin : Hé...
Viconia : Eloigne-toi, Edwin. Je ne suis pas d'humeur à te supporter

  Haer'Dalis/Edwin
Haer'Dalis : Edwin ! Tu es toujours le plus austère de notre groupe. Je m'inquiète de ton humeur.
Edwin : Mon humeur sera nettement meillleure quand j'en aurai fini avec cette misérable affaire.
Haer'Dalis : Ah, que de grands plan pour le futur ! Mais de quoi sera fait demain ? Notre fin à tous pourrait aussi bien survenir aujourd'hui que dans mille ans.
Edwin : Tu présumes que ma mort est inévitable, mais je vois peut-être plus loin que toi. D'autres semblent pouvoir échapper à la mortalité, pourquoi pas moi ?
Haer'Dalis : Edwin, te souviens-tu du nom du dieu de la mer chez les anciens Néthérils ?
Edwin : Heu... non
Haer'Dalis : Tout a une fin, Edwin. Tout meurt un jour. Les dieux aussi redeviennent poussière, comme toi et moi nous finirons.
Edwin : Pour un barde, on peut dire que tu mets de l'ambiance.

  Haer'Dalis/Imoen
Haer'Dalis : Ah, Imoen, ma fleur sauvage. T'ai-je déjà complimenté sur ta grâce naturelle et ta beauté innocente ? Aucun homme ne peut être insensible à un tel charme.
Imoen : Oui, oui, cause toujours... Je ne sais pas si je suis gracieuse, mais je suis loin d'être innocente, Haer'Dalis. Je sens très bien venir tes joyeuses provocations.
Haer'Dalis : Mais pas du tout. Je n'avais pas l'intention de te froisser.
Imoen : Hum.
Haer'Dalis : C'est parce que je t'observe parfois dans tes moments d'inattention... et je vois la peine de ton coeur se refléter dans tes yeux. Ton moineau est triste de savoir qu'il n'y a personne pour t'étreindre tendrement, Imoen.
Imoen : Je...
Haer'Dalis : Mais j'outrepasse mes droits en disant cela. J'ai toujours espéré que tu me laisseras un jour la chance d'être celui qui te réconfortera. Ce serait un honneur, ma belle fleur sauvage.
Imoen : Ouah ! Tu es fort !
Haer'Dalis : Oui, je sais. Cette forme d'art a souvent aidé ton moineau.
Imoen : Ecris un livre. Je l'achèterai.

  Haer'Dalis/Keldorn (merci à Colargol)
Haer'Dalis : Ma grande et noble canaille, je sens ton esprit alourdi. Par quoi notre puissant paladin serait-il troublé ?
Keldorn : Ton observation est tout à fait exacte, mon bon barde. Je suis en effet troublé par la route que nous suivons.
Haer'Dalis : Mais ton brillant exemple ne nous guidera-t-il pas sur la bonne voie, seigneur Keldorn ?
Keldorn : Je ne suis pas le chef de ce groupe… et même si je l'étais, cela ne ferait peut-être aucune différence. Quelle que soit la voie que (votre perso principal) choisira, je crains que notre route soit maculée de sang.
Haer'Dalis : Oui, mais nous ne sommes que des pions dans cette tragédie, tirant nos répliques d'un manuscrit sinistre et pesant. Mais personnellement, j'espère malgré tout que nous assisterons à une fin heureuse.
Keldorn : Moi de même. Mais la vie ne ressemble pas toujours aux tableaux, et je crois que c'est un de ces moments. N'en parle plus… je ne veux pas contrarier les autres.

  Imoen/Anomen
Imoen: Anomen, tu fais bien sûr partie de l'Ordre du Coeur radieux, non? Ces paladins et ces clercs qui courent partout dans Amn en s'indignant de tout ce qu'ils voient?
Anomen: Je trouve votre description à la limite de l'insulte, jeune fille... mais oui, je suis un membre de l'Ordre. Pourquoi?
Imoen: Et bien, il y a environ dix ans, un centaine d'entre eux marchaient solennellement vers Châteausuif, rien que pour rapporter un livre aux moines. Le savais-tu?
Anomen: Non, mais c'est quelque chose que l'Ordre peut faire. Tout dépend du livre.
Imoen: D'après mes souvenirs, il était très grand. Je l'ai volé dans les archives pour le lire... sais-tu qu'il contenait des images d'hommes nus et de femmes dévêtues? Une horreur! Je suis surprise que l'Ordre conserve un tel ouvrage.
Anomen: C'était sans doute un livre maléfique. L'Ordre l'a peut-être confié aux moines pour qu'il ne puisse pas servir des intentions impures.
Imoen: Ca, je n'en sais rien. Winthrop m'a surprise et m'a passé un sacré savon... mais j'ai remarqué qu'il gardait le livre dans sa chambre depuis ce jour.
Anomen: Vous êtes vile! Je n'écouterai pas un mot de plus! Allez ennuyer (le perso principal)!

  Imoen/Cernd
Imoen : Bonjour, Cernd. Tu es bien un druide ? Alors, tu pourrais répondre à une question...
Cernd : Je suis un druide, oui... et je serais bien sûr heureux de répondre à tes questions, mais ton regard malicieux me dit que tu vas te moquer de moi.
Imoen : Je ne me moquerai jamais de toi. Mais tu es mignon quand tu es frustré.
Cernd : (soupir) Que veux-tu savoir, Imoen ?
Imoen : Hé bien... comment devient-on druide ? On se réveille un matin et on décide d'aller embrasser un arbre, c'est ça ?
Cernd : Tu es plus intelligente que cela, Imoen. Es-tu devenue une voleuse par accident, en découvrant un jour par hasard que tu avais la main dans la poche d'un autre ?
Imoen : En fait, oui. J'avais 8 ans et Winthrop avait une grosse chaîne en or qui dépassait d'une de ses poches toute la journée, sous mes yeux. Je n'ai pas pu résister.
Cernd : Tu sais, pour une fille qui a subi autant d'épreuves et qui vient de découvrir qu'elle est une enfant de Bhaal, tu as un remarquable talent pour éclairer les choses.
Imoen : Je pourrais passer mon temps à me morfondre, mais je laisse cela à (Votre perso principal). Oh, attends,,, je crois qu'il/elle nous a entendus. Viens par ici.

  Imoen/Edwin (merci à Legolas pour ce témoignage franchement drôle à mon sens)
Imoen: Tu a l'air bien sombre Edwin tu n'est pas faché quand même?
Edwin: Mes humeurs ne te regardent pas, mon enfant.
Imoen: Mais peut-être enrages-tu de voir certains acconplir leur prophétie en te surpassant dans tous les domaines !
Edwin: Tu vas trop loin fillette. Aucun de vous ne m'est supérieur.
Imoen: Oh que si! Regarde, même moi la frêle et fragile Imoen je suis une terrible enfant de Bhaal.
Edwin: Completement idiote...
Imoen: Eh Edwin, BOUH!
Edwin : QUOI QUOI! Encore!
Imoen: Il a craqué, le grand mage a craqué(c'est dingue ça! Je lui fais Bouh il est mort de trouille).
Edwin: Morveuse, gamine, débile, tu meriterais de brûler vive

  Imoen/Jan
Imoen : Tu sais Jan... j'ai écouté l'histoire que tu racontais tout à l'heure. Je l'ai trouvée fascinante.
Jan : Vraiment ? Je dois dire que je n'ai plus jamais regardé le fromage de chèvre de la même façon, après ça. Tout comme ce pauvre Gilbert. Ou un de ses chats.
Imoen : Ni (Votre perso principal) non plus, d'ailleurs, vu comme il/elle grognait. Mais ton histoire m'a rappelé une légende que l'on m'avait racontée à Chateausuif.
Jan : Oh ? Une nouvelle histoire ? Mon dieu... les minuscules orteils de mes minuscules pieds de gnome tressaillent déjà d'impatience, comme tante Pétunia avant d'enfiler sa robe du dimanche. J'écoute...
Imoen : Hé bien, cela me rappelle le bol de lait de chèvre que le vieux Winthrop posait tous les soirs devant sa porte pour les démons poussiéreux. Il disait qu'ils ne pouvaient pas résister au lait de chèvre, et qu'ils buvaient jusqu'à en être malades et à ne plus avoir la force d'entrer... c'est pour cela qu'il n'avait jamais besoin de faire la poussière et que sa maison était toujours propre.
Jan : Très ingénieux. Continue.
Imoen : Les démons parlent beaucoup, et l'histoire du lait de chèvre de Winthrop s'est vite répandue. C'est alors qu'arrive ce balor à trois bras (pourquoi il n'avait que trois bras, c'est une histoire encore plus longue... les plus puissantes créatures des Abysses l'avaient surnommé " Bouche Maligne ", mais bref...) ce balor, donc, arrive à Chateausuif en pleine nuit et fonce vers la chambre de Winthrop pour boire le lait. Mais le balor avait mal compris la rumeur et croyait boire le lait d'une femelle glabrezu enceinte. Ne me demande pas pourquoi.
Jan : Il a dû être très déçu. Moi, je l'aurais été.
Imoen : Mais il l'était . Il est entré dans une rage folle, martelant la porte de Winthrop et réveillant presque tout le monde dans le château. Même Gorion, qui dormait toujours profondément. Mais Gorion n'était pas très bien réveillé et il a cru que le château était attaqué. Alors, il a fait sauter le toit avec une salve de boules de feu et d'éclairs. (Votre perso principal) avait si peur qu'il/elle hurlait comme un bébé.
Jan : Hmpf. Je me mets à sa place. Mon oncle Le Rêche m'a fait la même chose, une fois, avec un mauvais mélange de bouillon de navet et de vinaigre, mais l'odeur devait être encore pire.
Imoen : Gorion était furieux. Il pestait en hurlant, (Votre perso principal) braillait à tue-tête, les gens couraient dans tous les sens... il fallait voir ça ! Le lait de chèvre a été interdit au château, et depuis ce jour, Winthrop est obligé de balayer sa chambre. Il a compris la leçon et aurait pu perdre sa place
Jan : Hmmnn. Et qu'est devenu le balor ?
Imoen : Oh. Les moines l'ont acheté avec un recueil de blagues sur les baatezus. Il paraît qu'il visite les Abysses depuis. Il se fait souvent chahuter, mais qu'est-ce qu'un comique peut espérer de mieux, en enfer ?
Jan : Hmmmn. Hm. Très bien. Oui, c'était parfait, ma belle. Il faudrait inclure une référence aux navets à l'avenir, mais dans l'ensemble, belle prestation.
Imoen : Hi hi hi ! Je n'oublierai pas.

  Imoen/Minsc (C'est spatial!)
Imoen:
Minsc, je veux un hamster.
MInsc: Quoi? C'est une très bonne décision, mais Bouh n'est pa sà vendre.
Imoen: Pas Bouh, grand benêt. Mon hamster à moi. Je vois bien qu'il te calme, et il ne semble pas très difficile d'entretien. Je pensais que...
MInsc: Oh! Alors ça, pas du tout! Il ne lui faut pas grand chose. A manger, un coin de panier et une petite roue aussi. On m'a toujours dit qu'une petite roue c'était bien.
Imoen: Je n'en veux pas un tout de suite. Je ne pourrais pas m'en occuper aussi bien que toi en voyageant. Mais quand nous en aurons fini, peut-être...
MInsc: Bien sûr... Bouh est un hamster spécial, il est très résistant. Je ne t'ai jamais dit que c'était un hamster de l'espace géant miniature? Je croyais bien pourtant.
Imoen: Si, tu me l'as dit, Minsc. Tu me l'as déjà dit.

  Imoen/Sarevok (Merci encore à Legolas)
Imoen: Euh...Sarevok comment est-ce de mourir ?
Sarevok: Ne me dis pas qu'une créature faible comme toi n'a jamais été ressuscitée par un prêtre. Ce groupe doit avoir un abonnement au temple de Helm à cause de toi !
Imoen: Oui mais là c'est différent: C'est tout noir et hop c'et reparti, mais je ne suis jamais morte pour de vrai.
Sarevok: Continue comme ça et ça va t'arriver...
Imoen: Oh mais tu ne me fais pas peur avec tes grands airs! Après tout tu n'es qu'un vagabond et je suis un archimage.
Sarevok: Ma chère soeur ce que je pourrais t'apprendre ne t'aporterait rien et l'heure venue, cela ne te servirait à rien...

  Imoen/Valygar
Imoen : Dis, Valygar... le bruit court que tu as tué tes parents. C'est vrai ? Je trouve cela horrible, pour ma part .
Valygar : Tu trouves que c'est une conversation normale ? Venir demander à quelqu'un s'il a tué ses parents ?
Imoen : Tu préfères laisser courir la rumeur ?
Valygar : Je me moque de ce les gens peuvent dire de moi. Les gens ont parlé de ma famille toute ma vie.
Imoen : Tu es tellement acerbe... tu sais, il parait qu'on finit par avoir le visage bloqué si on reste comme ça.
Valygar : Pour quelqu'un dont l'âme a été souillée par le Mal d'un dieu mort, tu me rappelles plutôt un écureuil enivré de sucre et qui a envie de mourir.
Imoen : Ohh ! Très drôle ! Vraiment désopilant !
Valygar : Je fais ce que je peux

  Jaheira/Anomen (grâce à Legolas)
Jaheira : Tu affiches les cicatrices de tes blessures avec fierté, Anomen, fidèle à la cause que tu défends.
Anomen : Il le faut. C'est ce qui me pousse à continuer. Le doute est l'ennemi à abattre.
Jaheira : Ceux qui ne se posent pas de questions ne voient pas l'intégralité du problème.
Anomen : Tout ceci n'est pas important. Ce qui compte, c'est ce qui se passe ici et maintenant, et ce que l'on peut en faire.
Jaheira : Ton monde est petit et flou. L'image la plus frappante est toujours plus grande que ce que tu peux voir.

  Jaheira/Keldorn (encore une contribution de Colargol)
Jaheira : Keldorn ? Tu as l'air pensif. Tout va bien ?
Keldorn : Je vais bien, Jaheira. Mais les circonstances me donnent à réfléchir.
Jaheira : Hmm. J'ai réfléchi, moi aussi. Il est difficile de tracer une ligne dans le sable et de dire " D'un côté de cette ligne, il y a l'Harmonie, de l'autre c'est le Chaos ".
Keldorn : L'harmonie ? Mais c'est le cadet de nos soucis.
Jaheira : Ah. Tu as des problèmes à voir ce qui est tout blanc ou tout noir ?
Keldorn : C'est le moins que l'on puisse dire. Je sais bien quelle force maléfique nous attend, mais j'ai du mal à déterminer quelle est la " bonne " voie pour la contourner.
Jaheira : Je ne sais que dire. Nous ferons ce que nous pourrons quand l'occasion se présentera.
Keldorn : On ne peut demander plus. Que Torn nous guide, nous aurons besoin de sa sagesse.

  Jaheira/Valygar
Jaheira : Je trouve surprenant que nous ayons si peu de choses à nous dire, Valygar.
Valygar : J'ai peu de choses à dire aux autres, en général, ainsi en ai-je décidé.
Jaheira : Je comprends. Pourtant nous avons beaucoup de choses en commun, un druide et un rôdeur...
Valygar : Oui, nous partageons de fausses idées et de vieux clichés. Tu sais parfaitement que notre conception des choses est totalement différente.
Jaheira : Peut-être. En tant que druide, je suis triste de voir la civilisation envahir les contrées sauvages.
Valygar : J'ai vu des communautés détruites parce qu'elles n'étaient pas en " harmonie " avec un marais ou une forêt.
Jaheira : Détruites ?
Valygar : " Encouragées à déménager ", si tu préfères. Mais c'est la même chose.
Jaheira : Je suis sûre que les circonstances étaient très graves.
Valygar : On le pensait, en tout cas. Une utilisation responsable n'était apparemment pas une option. Je n'ai rien contre toi, Jaheira, mais cette obsession de l'harmonie chez les druides peut entraîner de graves problèmes.
Jaheira : Hé bien, nous devons reconnaître que nous ne sommes pas d'accord.
Valygar : Comme tu voudras.

  Jan/Cernd
Jan : Si je peux me permettre, Cernd... tu sembles assez nerveux à mon égard. Est-ce que... je t'énerve. Par hasard ?
Cernd : Ce n'est pas toi personnellement, mais les gadgets avec les quels tu aimes souvent t'amuser.
Jan : Ah, mes trucs de magie ? Tu as peur qu'ils ne soient pas naturels ? Pas en harmonie ? Harmoniquement dénaturés ?
Cernd : Ils semblent exploiter plus d'énergie que leur petite taille ne permet d'en contenir.
Jan : Tu n'as pas à t'inquiéter, je t'assure. Nous n'utilisons que les meilleures poudres pour les Super Feux d'Artifice de la Famille Jansen. S'il y a un défaut, le client est remboursé gratuitement.
Cernd : Hormis cela, je suis certain qu'il ne s'agit que d'une savante mixture d'éléments naturels, mais tu comprendras que je préfère rester à une distance respectable quand ils explosent.
Jan : Oh, je te le conseille vivement. Mon oncle Flippy était tout près une fois... et lui qui était toujours endormi, il s'est mis tout d'un coup à parler. " QUOI " qu'il disait, " QUOI ! QUOI ! "
Jan : Ce n'est pas si drôle que ça . Maintenant il enregistre les réclamations dans une salle des fêtes d'Eauprofonde. Tout le monde le connaît, c'est le premier qui dit " QUOI ! " dès qu'il te voit.

  Jan/Haer'Dalis
Jan : Dis, Haery, j'aurais besoin de tes talents de barde pour finir de rédiger un petit poème. C'est un hommage à notre chef intrépide.
Haer'Dalis : Je souhaiterais sincèrement que tu m'appelles par mon vrai nom, Jan. Mais je serais heureux de collaborer avec toi pour écrire ce poème.
Jan : Super, Haery. Je savais que je pouvais compter sur toi. J'ai trouvé un bon début, mais j'ai besoin de morts qui riment avec "violet" "orangé" et "argenté".
Haer'Dalis : Hé bien... tu te focalises peut-être trop sur les couleurs, Jan. Nous pourrions peut-être orienter cette ballade dans une autre direction.
Jan : Bon, je finirai cette strophe tout seul. Mais tu peux peut-être m'aider avec la suivante. Qu'est-ce qui pourrait bien rimer avec " sceau " ?
Haer'Dalis : J'ai un mot qui me vient à l'esprit... Ecoute, mon prétendu moineau, je ne veux pas t'offenser, mais tu devrais me laisser travailler sur cette composition. J'y ajouterai ma touche subtile et personnelle.
Jan Jansen : Ah, Haery, oublions tout cela. Je suis né conteur et je resterai conteur jusqu'à la fin de mes jours. Je ne suis pas un poète et je n'en serai jamais un.
Haer'Dalis : En principe, j'encouragerais un artiste comme toi à changer de branche, mais dans ton cas l'abandon direct me semble la meilleure solution.

  Jan/Jaheira
Jan : Tu sais, Jaheira, au cours de tous nos voyages, ton sourire m'a toujours soigneusement évité...
Jaheira : Allons bon... bien sûr je garde mes émotions pour des évènements importants, mais...
Jan : C'est bien le problème. J'ai réussi parfois à t'émouvoir, mais le moindre scintillement annonciateur d'un sourire disparaît aussitôt avant d'éclairer la pièce.
Jaheira : Il y a sûrement quelqu'un dans ta famille qui pourrait remédier à cette situation ?
Jan : Heu, pour illustrer l'horreur des histoires mal appréciées ? Hé bien... j'ai eu un oncle Richard, qui a monté une pièce de théâtre entièrement nue lors d'un festival, à Eauprofonde.
Jan : C'est vrai qu'il faut qu'un artiste se montre pour faire avancer sa carrière, mais là, la pièce reçut un accueil glacial et sa troupe diminuait tous les jours. Bouleversé, mon oncle a alors essayé d'embaucher des voleurs, mais ils préféraient couper des bourses que les montrer.
Jan : " Mettez vous à nu ", qu'il leur disait, mais ils avaient peur d'y laisser leur dignité. Il a abandonné le rôle principal pour recruter de nouveaux membres, et son génie a finalement été reconnu, même sans son rôle.
Jaheira : Ah...
Jan : Ton verdict ?
Jaheira : Heu... tu peux mieux faire. Hé hé hé.
Jan : On ne peux pas toujours gagner
Jaheira : Essaie encore.
Jan : D'accord, si tu veux, ma chère.

  Jan/Keldorn
Jan : Dis donc, Keldorn, puisqu'on parle de couches-culottes, tu as grandi maintenant, non?
Keldorn : Mais de quoi diable parles-tu, Jan ? Ce n'est pas du tout le sujet de notre discussion !
Jan : Ben, c'est parce que mon oncle Puant avait presque ton âge quand il a eu plein de plaques rouges à cause de ses couches-culottes. Je me disais que si ça t'arrivait, tu serais capable de souffrir dans un silence chevaleresque. Personne ne doit affronter ce problème seul, tu sais.
Keldorn : "Oncle Puant"? (soupir) Il s'appelait comme ça à cause de ses couches-culottes, je suppose?
Jan : Non, c'est à cause des têtes de poisson qu'on lui avait donné ce surnom. Il s'appelait Rouctal ou Slooble, quelque chose comme ça. Je ne m'en souviens pas. Mais comme disait papa : " Si tu peux pas les attraper, prends ta botte et -
Keldorn : Mon dieu! (votre joueur principal), ai-je l'air aussi stupide ?
--Réponse du PJ-
Keldorn : Il parle toujours, là ?
PJ : Oui
Jan : … et c'est comme ça que j'ai pu avoir ce grand baudet. Bonne chance pour les rougeurs !

  Jan/Korgan
Jan : Korgy, mon pote, je ne t'ai jamais dit que tu me rappelais mon oncle, Uriah Doublemartel?
Korgan : Fais gaffe à toi, le gnome. Si je me fâche, je vais t'enfoncer ma hache si profond dans le dos que ton haleine sentira le métal !
Jan : C'est exactement ce qu'aurait dit Doublemartel. C'était un hors-la-loi cruel, sauvage et assoiffé de sang qui aurait massacré tout ce qui se mettait sur sa route. Il terrorisait un village de gnomes qu'il traversait souvent dans sa quête incessante de richesses et de massacres.
Korgan : Un gars au coeur aussi noir que le mien! Continue, gnome… tu me donnes soif de sang !
Jan : Evidemment, toutes les bonnes choses ont une fin. Fatigués des singeries d'Uriah, les villageois ont engagé un héros pour les protéger et maintenir la loi - le légendaire Clint Hackman (il a même donné son nom à un célèbre jeu vidéo, plus tard). Les villageois étaient blottis derrière leurs volets. Le hors-la-loi et le héros se regardaient droit dans les yeux au milieu de la rue centrale de la ville déserte. Et Uriah dit froidement : " J'ai tué des femmes et des enfants. J'ai tué tout ce qui marche ou qui rampe sur cette terre. Et maintenant, je vais te tuer. "
Jan : Mais ce jour-là, Uriah n'as pas eu de chance. Il brisa son marteau en heurtant le bouclier de Hackman, et ce fut la fin. Sans arme, il ne fut pas le poids contre le grand Clint. Si mon oncle s'était appelé Doublemartel parce qu'il avait toujours deux marteaux sur lui, il serait peut-être encore vivant aujourd'hui. Mais son surnom venait du gros marteau qu'il portait toujours, et de l'autre marteau encore plus grand qu'il avait sous la ceinture, si tu vois ce que je veux dire… Un fort bel instrument, mais pas très utile pour se battre.
Korgan : HA HA HA! Heureusement que tu connais bien ton public, gnome… je ne sortirai pas ma hache cette fois.

  Jan/Minsc
Jan : Oh là là… j'ai fait un drôle de rêve, Minsky. J'ai rêvé qu'un sorcier se glissait dans notre campement pendant notre sommeil, et qu'il lançait un sort pour échanger nos deux identités.
Minsc : Ce n'est pas un rêve, c'est un cauchemar. Minsc ne tiendrait même pas dans tes minuscules vêtements ! Et je n'ai pas envie de me promener à poil dans ces étranges contrées…
Jan : Ils n'avaient échangé que nos esprits, Minsky. Tu étais moi, et moi j'étais toi. Mon dieu… et si ce n'était pas un rêve ? Si tu étais vraiment moi ?, et que j'étais vraiment toi ? Je me sens bizarre tout d'un coup… VIVE LES HAMSTERS, LES RODEURS ET LES HEROS !
Minsc : Qu'entens-je? Mais le minable gnome parle avec la rage et la fureur d'un guerrier rashémène ! Bouh, c'est quoi l'embrouille ?
Jan : J'EN AI MARRE QUE TU ME JOUES TES SALES TOURS, ESPECE DE heu… heu… DE FOUTRIQUET! RENDS-MOI MON HAMSTER, SINON heu… heu… TU VAS SENTIR LA COLERE DE MA heu… LA COLERE DE MES PUISSANTES heu… heu… BOTTES! (Oui, ça c'est pas mal)
Minsc : Est-ce possible ? Suis- je vraiment ce petit sournois de Jan dans le grand corps musclé de Minsc ? Non ! Ce n'est pas bon ! Minsc n'est pas Jan ! Minsc est Minsc ! Minsc est Minsc et Bouh est Bouh et tu es un sale méchant gnome !
Jan : D'accord Minsky, calme-toi. Tu as gagné. C'était juste une petite frasque existentielle - tu n'es pas fâché j'espère. (Hmmm… j'aurais cru que ça pouvait marcher…)
Minsc : Ta ruse aurait pu marcher, petit gnome, si Bouh ne m'avait pas sauvé de ma confusion. Bouh pense, donc je suis. Ne l'oublie pas avant de me pousser encore à bout en essayant de me voler mon hamster !

  Jan/Nalia
Jan : Nalia, ma chère, tu es absolument sinistre depuis quelque temps. C'est sûrement l'étude de tous ces parchemins. Tu me rappelles Golodon… avant qu'il ne devienne dépendant des gâteaux aux graines de pavot, bien sûr.
Nalia : Jan, je n'ai vraiment pas envie de plaisanter. Nous sommes ici dans un but précis.
Jan : Exactement! Et j'ai relaté les aventures de (Votre perso principal) dans une légende de style héroïque. La fin n'est pas encore très claire, mais le reste, c'est de la dynamite. Tu pourrais m'aider à trouver un titre ?
Nalia : (soupir) Pourquoi pas " Les aventures de (Votre personnage principal) ", ou quelque chose comme ça? Je ne suis pas écrivain, Jan, je ne peux pas t'aider.
Jan : C'est absurde! Tu as simplement besoin d'inspiration. Hmmm… " La cabale de Bhaal ", peut-être ? Et pourquoi pas " Carnets de Bhaal " ?
Nalia : Oui, parfait. Prends ça.
Jan : Ou pourquoi pas " Cabale au Bal de Bhaal "?? Non, je sais! " Itinéraire d'un enfant de Bhaal ".
Nalia : Hi hi hi ! Tu es incorrigible, Jan.
Jan : Ah... ENFIN le sourire que j'aime voir !

  Jan/Sarevok
Jan : Tu sais Binky, j'ai repensé au plan que tu avais préparé pour le Trône de Fer et tout ça. L'idée était intéressante… mais imparfaite.
Sarevok : Binky? Tu ferais mieux de ne pas m'adresser la parole, gnome!
Jan : Par exemple, qui a eu l'idée de mettre des impuretés dans le fer? C'est sûrement l'idée d'un sous-fifre qui ne savait pas quand il faut s'arrêter. Tu l'as sûrement fait flageller.
Sarevok : Je ne laisserai pas des rustres dans ton genre commenter mon passé. Ne dis plus un mot, sinon tu connaîtras pire que la flagellation.
Jan : En parlant de ça, ça me rappelle ma pauvre tante Sara. Elle aussi, elle avait un grand plan pour prendre la Côte des Epées, tu sais. Mais le sien était beaucoup moins dramatique, elle voulait préparer de savoureuses tartes aux navets avec des herbes hallucinogènes que tante Sara avait acheté à un mage turmish plutôt douteux.
Sarevok : Tu n'écoutes JAMAIS ce que je dis? Arrête ou tu vas souffrir !
Jan : Tu crois qu'elle nous aurait écouté? Se fier à un mage turmish, pfff, autant lui botter les fesses… et même lui donner un bon coup de bâton. Enfin bref, tante Sara s'est mis à ricaner comme une méchante sorcière, déterminée à poursuivre son plan pour hypnotiser la Côte des Epées. Malheureusement son plan a échoué quand elle a été découverte par un espion qu'elle avait capturé… et qui a réussi à s'échapper ensuite avant d'être tué. C'est ce que font les méchants, je crois, quand ils ne salissent pas du fer.
Sarevok : Je n'aime pas qu'on se moque de moi, gnome! C'est mon dernier avertissement !
Jan : Bien sûr, on dit que le duc Eltan avait eu le temps de manger une part de tarte de ma tantine, et qu'il avait beaucoup aimé. Au lieu d'être hypnotisé, il est devenu obsédé par les sous-vêtements de soie. Ce qui a entraîné, bien sûr, la Grande Pénurie de Sous-Vêtements. On l'aurait appelée aussi Sécheresse des Trois Ans, mais c'est une toute autre histoire.
Sarevok : AARRRRRGGH ! Il me rend fou ! Comment peux-tu supporter une telle impudence, (Votre perso principal) !

  Keldorn/Imoen (Ouh, la coquine! Ce compte-rendu est dû à Glorfindel.)
Keldorn:
Imoen, tu m'as fait les poches...
Imoen: Mais pas du tout, Keldorn.
Keldorn: Si, j'ai senti tes mains me fouiller...
Imoen: Ben...c'est que j'ai pas pu m'en empêcher.
Keldorn: Quoi?
Imoen: Ben...j'ai tout le temps envie de te toucher.
Keldorn: Imoen, tu es folle, je suis marié et j'ai une fille de ton âge!
Imoen: Je ne sais pas si c'est l'essence de Bhaal qui est en moi mais je rêve de te mordre les oreilles et de te ... tu m'excites tellement!
Keldorn: Heuuu... je ne savais pas que je te faisais cet effet là.
Imoen: Hi!hi!hi! Tiens, ta bague, je te la rends, je recommencerai plus, promis.

  Keldorn/Mazzy (C'est un peu court, mais ça vaut mieux sans doute... Grâce à l'aide de Colargol)
Keldorn : Mazzy, j'ai rarement vu autant de courage chez les petites-gens. Je suis fier de servir à tes côtés
Mazzy : Keldorn, tu es mon idole depuis ma plus tendre enfance ! Tu ne peux pas savoir à quel point je suis touchée par ces paroles !
Keldorn : Tu es trop gentille, ne me remercie pas. Tu mérites ces louanges. Tu les as bien méritées !

  Keldorn/Sarevok (Sarevok semble décidément irrécupérable. Toujours de Colargol)
Keldorn : Je sais que ce que je vais te dire t'importe peu, Sarevok… mais ne penses-tu pas que ta nouvelle vie rest une sorte de seconde chance?
Sarevok : Tu as raison, paladin. Je me moque éperdument de ce que tu peux dire.
Keldorn : Crache ton venin sur moi si cela te fait plaisir, mais n'oublie pas que ce sont tes propres machinations qui ont provoqué ta mort. Tu dois en tirer les conclusions si tu ne veux pas mourir une nouvelle fois.
Sarevok : La mort n'a aucun sens, idiot. C'était un simple hasard, et non le jugement d'un dieu. J'aurais pu tout aussi bien être victorieux, dans d'autres circonstances.
Keldorn : Alors tu n'as rien appris de la mort? Pas mênme que la vie est courte et précieuse ? A quel point il est inutile de vouloir amasser les richesses et le pouvoir ? A quoi t'ont-ils servi dans les Abysses, Sarevok ?
Sarevok : Je n'ai survécu dans les Abysses que par ma volonté et mon désir. Rien d'autre.
Keldorn : J'ai connu beaucoup d'hommes bons et honnêtes, qui avaient eux aussi un désir très fort. Mais je sais qu'ils ne finiront pas dans les Abysses quand ils mourront.
Sarevok : Je… peu importe si je dois retourner dans les Abysses, vieux sot. Quand on est mort, on est mort. Rien d'autre ne compte.
Keldorn : Je suis peut-être vieux, mais pas sot. Je ne crois pas que tu y croies vraiment.
Sarevok : Je… va t'en, mon vieux. Garde tes pieux sermons pour ceux dont la rédemption est encore possible. Il est bien trop tard pour moi.

  Keldorn/Valygar (de Colargol également)
Keldorn : Valygar, je n'ai point l'intention de t'offenser, mais je ne puis garder plus longtemps le silence. Tu es un valeureux guerrier et un vrai défenseur de la morale et du bon droit…
Valygar : Pourquoi devrais-je être offensé, Keldorn ?
Keldorn : Je pense que tu plaisantes, Valygar… mais avec toi, je ne suis jamais sûr. Bien sûr que ces mots ne peuvent t'offenser. Mais ce que je vais dire, peut-être. J'ai repensé à tes croyances athées.
Valygar : Keldorn, ne perds pas ton temps à essayer de convertir le païen que je suis. Je respecte ce que tu défends, mais je n'ai pas besoin de servir de dieu… même un grand dieu comme Helm.
Keldorn : C'est ce que tu prétends, mais tes actes prouvent le contraire. Tu défends la droiture et la justice aussi noblement que tout chevalier de l'Ordre. Tu sers peut-être la volonté de Helm, Alors que tu prétends le contraire.
Valygar : Je prends cela comme un compliment Keldorn… et non comme une condamnation autoritaire de mes croyances. Si cela peut te rassurer de savoir que je sers Helm à mon insu, je n'ai pas d'objection.
Keldorn : Et comme cela te rassure de nier que tu le sers - alors que tes actes prouvent le contraire - je tâcherai de ne plus y penser, mon cher Valygar. Je suis heureux que nous ayons eu cette discussion.
Valygar : Moi aussi, Keldorn. Moi aussi.

  Korgan/Aérie
Korgan : Aerie, sale mouche sans ailes ! Tu ferais mieux de t'entraîner sur tes sorts pour la prochaine bataille ! J'ai pas envie de supporter encore tes conneries!
Aerie : Fiche-moi la paix, sale brute. Je ne suis pas d'humeur aujourd'hui.
Korgan : Ouais, t'es jamais d'humeur à rien, sauf pour tes conneries de sentiments ! Arrête de jouer les aventurières et retourne dans ta cage, au cirque ! Parce que si les gens donnaient une pièce ou deux pour te voir, tu servirais au moins à quelque chose !
Aerie : Je suis assez grande pour savoir ce que je dois faire, nabot !(Votre joueur principal) sait très bien que je suis à la hauteur quand les choses se gâtent !
Korgan : Regardez-moi ce pauvre insecte rachitique qui se prend pour une sorcière !
Aerie : Je ne supporte plus tes insultes, pauvre bâtard ! Tu empestes plus fort qu'une bouche de Kobold malade ! Tu es bête, sectaire, méchant, borné et petit ! Maintenant, laisse-moi, sinon je lance un sort d'atrophie sur ce qui te gratte toujours entre les jambes !
Korgan : Ouais, je m'y attendais. Tu vas rougir pendant une semaine quand t'auras réalisé ce que tu viens de dire, ma belle ! J'ai eu ce que je voulais - Har har har !

  Korgan/Anomen (de Legolas)
Korgan : Hé, toi, le beau gosse ! Ouais, c'est à toi que je parle, Anomen.
T'as l'air plutôt abattu aujourd'hui.
Anomen : Abattu ? Je pense que vous vous trompez, brave nain. Je suis de fort belle humeur.
Korgan : C'est pas vrai ? J'trouve ça surprenant. Ta sœur est en train de pourrir dans sa tombe, tu pourras plus jamais entrer dans l'Ordre du Cœur Radieux alors que t'en avais rêvé toute ta vie… y a de quoi faire la gueule, non ?
Anomen : J'ai choisi de ne pas vivre dans le passé, Korgan. J'essaye de tourner la page sur ces événements… mais vous ne me facilitez pas la tâche en les rappelant à mon souvenir.
Korgan : Ach - mais c'est pour ça que je suis là ! Pour rouvrir les vieilles plaies et y verser du sel !
Anomen : Je vous suggère de choisir une autre cible à tourmenter, nain.
Sinon, peut-être qu'après la prochaine bataille, je m'occuperai de vos blessures physiques avec la même négligence odieuse que vous avez montrée pour mes faiblesses émotionnelles.
Korgan : Oh, mais c'était juste une blague, gros bourru. Puisqu'on peut pas rigoler avec toi, J'te laisse.

  Korgan/Edwin (où Edwin se fait moucher)
Korgan: C'était une sacrée bagarre, hein, le mage? Du sang entre les orteils et les flammes de l'enfer, ça c'est la belle vie! Ha!
Edwin: Quelqu'un ne pourrait pas me débarrasser de ce monstre baveux?
Korgan: Quoi? T'as pas les tripes assez solides pour ma hache?
Edwin: Je n'ai rien contre ce besoin d'offense hostile, mais je ne comprends pas pourquoi tu veux absolument t'enfoncer une lame dans le corps.
Korgan: Bah, les mages! Tu ferais péter les vitres de ta mère, mais tu crèves de trouille quand tu vois du sang! Tu préfères suivre l'action! Pfeuh!

  Korgan/Jan (Un peu de culture... merci à toi Colargol)
Korgan : Dis Jan, ça fait un bail qu'on s'est pas battus, hein? Allez, moulin à paroles, raconte-moi une histoire, je m'ennuie à mourir… et si tu tiens à ta peau, une histoire de nains !
Jan : Ah, enfin quelqu'un qui sait apprécier mes histoires! Une histoire de nains, hein ? Voyons voir - bien sûr - mon cousin Kimble. Ce n'était pas vraiment un nain, mais Kimble a toujours eu des goûts spéciaux pour un gnome. Il était tombé amoureux d'une naine. Elle était grosse et trapue, avec une grosse voix et une longue barbe soyeuse…
Korgan : Ah, sacré gnome, tu sais bien raconter les choses… ça devait être une sacrée beauté !
Jan : Oh oui, elle avait fière allure… enfin, pour Kimble, en tout cas. Elle l'ensorcela de telle façon qu'aucun sorcier n'aurait pu l'égaler. Mais elle ne voulait rien avoir à faire avec mon cousin - elle était déjà courtisée par des princes nains et des clans de seigneurs lui demandaient sa main. Elle ne voulait pas s'embêter avec un pauvre gnome cultivateur de navets. Mais le cœur de Kimble refusait de l'admettre… il finit par quitter sa famille pour suivre cette créature ensorceleuse dans son camp natal.
Korgan : Tu n'y es pas, le gnome… j'veux pas d'une histoire à l'eau de rose. J' veux des meurtres et des morts ! Donne-moi du sang !
Jan : Tu voulais une histoire de nains, et c'est la seule que je connaisse. Tu sais bien que je ne peux pas mentir… ce serait un affront à notre tradition familiale de conteurs ! Bon, où en étais-je ? Ah oui, Kimble. Mon cousin a donc suivi la belle naine dans le domaine de son clan, dans les montagnes d'Alimir, et a commencé à cultiver des navets. Il a eu du mal au début, tu peux me croire… le impôts, les taxes, tout ça. On aurait pu croire que les nains ne voulaient pas de lui, ni de sa ferme. Mais ils n'avaient jamais goûté de navets, ils ne savaient donc pas ce qu'ils rataient.
Jan : Dès que ses navets ont commencé à pousser, tout a changé. Il se trouve que les nains de ce clan ADORAIENT les navets. Frits, cuits, bouillis, fouettés, en purée, écrasés - c'est bien simple, ils mangeaient des navets à chaque repas. Les navets sont devenus tellement à la mode que les nains ont commencé à se faire des vêtements en fibre de navets. Jamais un nain n'a eu autant d'allure (ni une meilleure odeur) qu'habillé de navets des pieds à la tête, avec des mocassins en peaux de navets pour la touche finale. Et comme les affaires marchaient très bien, Kimble est devenu si riche qu'il ne savait plus que faire de son or. Toutes les pièces de sa maison débordaient de pièces d'or, il ne pouvait presque plus bouger.
Korgan : J'aime bien quand tu parles de tout cet or, gnome, mais j'aime pas les histoires qui finissent bien.
Jan : Qui finissent bien? Je n'ai jamais dit ça . Kimble était riche, c'est vrai - mais la naine qu'il aimait ne partageait pas sa passion pour les navets. En fait, elle y faisait une allergie mortelle. Elle faisait de son mieux pour éviter ces légumes fatals, mais Kimble en récoltait tellement qu'un beau jour elle finit par en manger un. Et ce navet l'a tuée, bien sûr. Le cœur brisé, Kimble a voulu rentrer chez lui. Mais les nains ne voulaient plus le laisser partir, lui et ses navets. Ils l'ont jeté en prison et lui ont demandé de révéler les secrets de sa culture des navets, mais ces choses-là ne s'apprennent pas. Il faut être doué pour ça, et les nains ne le sont pas. Finalement, ce pauvre Kimble n'a pas résisté aux tortures et aux interrogatoires des nains, et il a fini par rejoindre sa bien-aimée dans l'au-delà. Et ce jour-là, les nains ont découvert que les cultivateurs de navets avaient presque aussi bon goût que les navets eux-mêmes
Korgan : HA! HA! HA! C'est une bonne histoire, le gnome. Tu t'en es bien sorti!

  Korgan/Mazzy
Korgan : Ahhhh, Mazzy ! Dis, ça fait un bail qu'on voyage ensemble. Tu sais on finira tous les deux à la colle, c'est une question de temps, pas vrai ?
Mazzy : Ne sois pas ridicule. Tu dis n'importe quoi.
Korgan : Faut pas me la jouer à moi, ma belle ! J'vois bien le feu qui brûle dans tes yeux. Ahhh, ce sera encore mieux quand il te brûlera autre part...
Mazzy : Tu ne m'inspire que du dégoût, Korgan. Tes manières déplorables, ton manque de politesse, sans oublier ton absence totale de décence. Tu n'as rien de commun avec Patrick ?
Korgan : Hein ? C'est pas bon pour moi ? C'est qui, ton Patrick ?
Mazzy : Je n'ai pas envie de t'en parler, Korgan. Sauf pour te dire qu'il avait plus de décence et d'amabilité que tu n'en auras jamais. Il est mort noblement en combattant le seigneur de l'ombre et je l'honorerai à jamais dans mon coeur.
Korgan : Ach ! J'peux pas lutter contre un fantôme, ma belle !
Mazzy : Tout à fait. Et tu n'as pas à le faire.
Korgan : En tout cas, Mazzy, il avait de la chance d'avoir une poulette loyale comme toi.
Mazzy : Il... je... merci, Korgan. Il me manque. Mais n'en parlons plus.

  Korgan/Mazzy (2)
Korgan : J'ai une petite question à te poser, ma belle, si tu te barres pas en courant comme l'autre fois...
Mazzy : Je promets de ne pas m'enfuir, Korgan, mais si c'est encore une de tes tentatives pour me séduire...
Korgan : Non, non. C'est juste une petite question.
Mazzy : Alors, pose-là.
Korgan : J'ai besoin de savoir, Mazzy. Si t'avais pas ce Patrick dont t'as parlé l'autre fois... si tu le connaissais pas... j'aurais une chance avec toi ?
Mazzy : Korgan, c'est scandaleux ! De tous les--
Korgan : Mais j'suis sérieux ! Il faut que je sache ! Réponds-moi, sacrebleu !
Mazzy : (soupir) Hé bien... si ça peut soulager ton ego meurtri. Si Patrick n'existait pas, s'il n'était pas mort noblement à mes côtés...
Korgan : Ouais ? Alors ?
Mazzy : Et si tu n'étais pas un monstre cruel, et un mufle dont on pourrait compter les qualités sur les doigts d'une main...
Korgan : Ouais ? Alors ?
Mazzy : Hé bien... peut-être. Tu aurais peut-être une chance. Une petite chance. Minuscule
Korgan : OUAIS ! A-HA ! Elle est croquedingue de moi, ouais ! Le nain n'a pas dit son dernier mot ! Elle m'a DANS LA PEAU !
Mazzy : Mais... je... grrr ! Oublions ça. J'ai une de ces migraines, tout d'un coup...

  Korgan/Sarevok
Korgan : Hé, Sarevok! T'es une sacrée machine à tuer, j'te le dis !
Sarevok : J'ai toujours eu la violence facile. Je crois que rien n'a vraiment changé.
Sarevok : Dans le monde néthère glacial, en attendant de renaître, j'ai amèrement regretté la couleur pourpre et la saveur épicée le la mort sur ma langue.
Korgan : Ouais, bien dit, mon pote! Bienvenue dans le monde des vivants, là où un massacre s'offre à toi à chaque coin de rue ! Har har har !

  Mazzy/Haer'Dalis (Ca reste très poli! Merci à Colargol.)
Mazzy : Haer'Dalis, pourquoi me regardes-tu avec insistance ? Vois-tu quelque chose d'étrange ?
Haer'Dalis : Je ne vois rien d'étrange, petit faucon… mais quelque chose de fascinant. Si un acteur joue le rôle d'un géant, il n'en sera pas plus grand, mais semblera pourtant dominer la scène.
Mazzy : Tu veux dire que… j'ai l'air plus grande ?
Haer'Dalis : Pas au sens physique du terme. Mais depuis quelque temps, quand je te regarde, je ne vois pas seulement une vaillante petite-personne, mais aussi une guerrière géante d'une vertu exemplaire.
Mazzy : Alors je te remercie pour ce compliment… mais je maintiens qu'il est grossier de fixer quelqu'un dans les yeux

  Mazzy/Imoen
Mazzy : Imoen, pardonne-moi si je suis trop curieuse, mais je dois savoir. Est-ce que... tu ressens les effets nocifs de ton âme souillée ?
Imoen : Des effets nocifs ? Quelle sorte d'effets nocifs ? Des colères imprévues, des nausées, des bourdonnements, des envies soudaines de pâtes au milieu de la nuit ? Ce genre de choses ?
Mazzy : Je suis sérieuse. (Votre perso principal) s'est déjà transformé en écorcheur, avec le stress... nous devons surveiller des symptômes similaires chez toi.
Imoen : Je ne peux pas savoir si je ferai la même chose que (Votre perso principal), Mazzy. Il est peut-être trop tôt pour le dire, même pour moi... et je n'aurai peut-être pas autant de pouvoirs que (Votre perso principal).
Mazzy : Donc tu ne ressens aucune différence
Imoen : Hé bien... peut-être un peu. Je ne dis pas que c'est facile, mais je ne vois pas comment tu pourrais m'aider, Mazzy.
Mazzy : Il est toujours bon d'avoir une amie de plus, Imoen.
Imoen : Tu dois avoir raison. Merci.

  Mazzy/Korgan
Mazzy : Korgan ? Même si je risque de regretter amèrement d'avoir abordé le sujet, j'ai très envie de te demander quelque chose.
Korgan : Aha ! Je savais que tu craquerais pour moi un jour ou l'autre ! Alors ma belle, qu'est-ce que tu veux ? Un petit câlin maintenant, ou tout de suite ?
Mazzy : Tu vois ? C'est ça le problème avec toi. J'ai repoussé toutes tes avances et tu te fais encore des illusions ? Pourquoi, Korgan ? Pourquoi insister ?
Korgan : J'insiste parce que tu m'plais, ma belle. Je connais pas de petite-nana plus michetonne, le genre qui me donne envie de m'accrocher au morceau...
Mazzy : Ton obstination ne servira à rien, Korgan. Arrête, je suis très gênée.
Korgan : C'est toi qui en a causé, Mazzy, pas moi. Tu vois bien, hein ?
Mazzy : Hé bien, je le regrette, finalement.
Korgan : Alors... j'suppose que pour le petit câlin, c'est non ?
Mazzy : Tu n'es qu'une ignoble brute, Laisse-moi tranquille.

  Mazzy/Sarevok
Mazzy : Qu'y a-t-il démon ? Pourquoi me dévisages-tu ainsi ? Arrête !
Sarevok : N'espère pas me donner des ordres, demi-portion. Tu as peut-être des talents de guerrière, mais tu n'es guère plus grosse qu'une souris...
Mazzy : Tu peux toujours m'insulter, je n'ai pas peur de toi.
Sarevok : Tu aurais très peur si tu n'étais pas un des compagnons de (Votre perso principal). Je t'écraserais comme l'insecte que tu es.
Mazzy : Cela ne m'effraie pas non plus, et tu ne m'écraserais pas aussi facilement que tu le crois.
Sarevok : Tu vas aussi prétendre que la mort ne te fait pas peur ? Beaucoup de ceux que j'ai connu le prétendaient aussi. Ils sont tous partis dans l'au-delà en pleurant comme des fillettes sur leur vie insignifiante.
Mazzy : Seuls les êtres maléfiques craignent la mort. Ils passent leur vie à voler le pouvoir des autres, s'emparant avidement de tout ce qui n'est pas encore à eux. Mais quand meurt le Mal, il ne reste que leur haine.
Sarevok : Bah ! Sais-tu ce qui t'attend après ta mort de paladin ? Une récompense éternelle de ta divinité préférée ?
Mazzy : La paix. La paix d'une conscience sereine et d'une vie bien remplie.
Sarevok : Je n'ai jamais connu la paix. Et je ne veux pas connaître quelque chose d'aussi inutile.

  Mazzy/Valygar (C'est encore bien poli! Grâce à Colargol.)
Mazzy : Mon bon Valygar, je dois te faire un aveu. Le fait de poursuivre notre voyage ensemble est une grande joie pour moi.
Valygar : Je dois admettre, Mazzy, qu'être ton écuyer est beaucoup plus agréable que je ne l'imaginais. Je pensais bien connaître l'art des combats, mais tu m'as appris deux ou trois choses
Mazzy : Croyais-tu que ce ne serait pas le cas ? Parce que je suis une petite-personne ?
Valygar : Certainement pas. Mais tu n'as pas besoin d'être sur la défense avec moi. Après tout, j'ai souvent souhaité être plus petit.
Mazzy : Tiens ? C'est nouveau ça.
Valygar : C'est la vérité. Dans mon métier, il faut savoir se déplacer discrètement dans la nature, et j'ai toujours eu l'impression d'être un géant pataud en voyant la grâce des petites-personnes dans mon ancienne unité.
Mazzy : Ha ha ! J'aime bien entendre ça. Mais tu n'es pas un gros pataud Valygar. Tes talents sont impressionnants. Aucun rôdeur de Franc-Marché n'aurait accompli la moitié de ce que tu as accompli.
Valygar : Et maintenant tu me flattes. Attention, les autres pourraient se moquer de nous.
Mazzy : Tu parles vrai, mon écuyer. Mais assez parlé… en route.

  Minsc/Aérie (On croit rêver!)
Minsc: Aérie! Bouh rumine une question pour toi. Je n'ai jamais vu un hamster se concentrer autant! Il est si calme que j'ai cru que je l'avais écrasé cette nuit en dormant, et ça m'inquiète beaucoup.
Aérie: Si Bouh veut me poser une question Minsc, qu'il ne se gêne pas pour le faire.
Minsc: Mais la question de Bouh est très personnelle... en fait, rien que d'y penser je rougis jusqu'aux fesses.
Aérie: Heu, je vois. Mais peut-être que Bouh devrait me le demander tout de même pour se libérer. Il ne faudrait pas qu'un petit hamster garde toute cette anxiété en lui, tu ne crois pas?
Minsc: C'est bien vrai ce que tu dis! Ca pourrait provoquer plein d'explosions pas normales! Bon... Bouh se demande pourquoi tu ne fais pas ton devoir, puisque tu es une sorcière?
Aérie: Mon devoir? Je croyais que tu étais sensé me protéger... Je ne savais pas que j'avais des devoirs. Et qu'y a-t-il de si personnel?
Minsc: Hé ben... une sorcière rashemène qui bourlingue avec un rôdeur, elle peut lui apprendre les secrets des herbes, entre autres. Et heu... Bouh et moi on aurait besoin d'en savoir plus. On a folâtré dans un buisson l'autre jour, et maintenant on sait qu'il était malsain. On a attrapé la gale Calimshite dans des endroits, heu... intimes. Un onguent serait sacrément le bienvenu!
Aérie: Je... je... heu, je vais voir ce que je peux faire, Minsc.
Minsc: Merci Aérie! Bientôt, j'espère que Bouh pourra retourner botter des fesses au lieu de se les gratter, et moi je serai drôlement soulage!

  Minsc/Anomen (ou le hippie et les institutions)
Minsc:
Dis, Anomen, Bouh et moi, on voudrait te poser une question sur cette loge que tu vénères par-dessus tout.
Anomen: Si par "loge" vous voulez dire l'Ordre du Coeur radieux, je vous répondrai de mon mieux.
Minsc: Oui, c'est ça. Tu as beaucoup de respect pour elle comme moi pour l'Auberge du Dragon de Glace, chez moi. S'ils font la même chose, on pourrait peut-être s'inscrire.
Anomen: Vous?
MInsc: Ben oui.
Anomen: Et votre - hamster?
Minsc: Ben oui.
Anomen: Je... je ne pense pas que vous aimeriez, Minsc. Non, votre coeur est certes pur, mais je crois que vous auriez des problèmes avec la, heu... la discipline de l'Ordre.
Minsc: Bouh ocmprend ton refus, mais il comprend pas pourquoi les organisations qui ont des bonnes intentions veulent toujours arriver les premières en haut du - hum "poteau de vertu".

  Minsc/Jan (Mais que représente donc le fameux Bouh??!)
Minsc : Bouh ? Bouh... où es-tu ?
Jan : Qu'est-ce qui se passe, Minsky ? Tu as perdu... hiiii... quelque... hi hi hi... quelque chose ?
Minsc : Toi ! Filou de gnome ! Minsc sait que tu as volé Bouh ! Minsc n'est pas idiot ! C'est quoi cette bosse dans ton pantalon ?
Jan : Cette bosse, là ? Ha ha ha ! Mais ce n'est rien. Je suis juste content de te voir, Minsc. Hé hé hé ! Oh, il me chatouille avec ses petites pattes.
Minsc : J'entends les cris furieux de Bouh ! Ho ho ! Il est en train de s'énerver, petit homme. Relâche Bouh tout de suite, sinon il va se fâcher et te mordre les bijoux de famille avec ses petites dents pointues !
Jan : Bouh ne ferait jamais une chose pareille... enfin j'espère. En fait, plus j'y pense, moins j'ai envie de prendre le risque. Tiens, Minsky - je te rends Bouh, il va très bien.
Minsc : Ah, Minsc et Bouh se retrouvent ! Jan, tu ne mérites pas d'avoir un hamster de l'espace géant miniature en liberté dans ton pantalon.
Jan : Ah, je suppose que rares sont ceux qui sont vraiment dignes de cet insigne honneur.

  Minsc/Keldorn
Minsc : Keldorn, Bouh et moi nous avons été étonnés, comme toujours, par la vigueur avec laquelle tu bottais les fesses des malandrins que nous rencontrons si souvent !
Keldorn : Et comme toujours, Minsc, tu as combattu avec la noble force de nombreux chevaliers.
Minsc : Et de hamsters ! Faut pas oublier Bouh, le rongeur enragé.

  Minsc/Korgan
Minsc : Korgan, Bouh me dit que tu le fixes du regard. Je crois que ça l'énerve... regarde, son petit corps tremble de colère.
Korgan : Oh, ta petite bestiole doit avoir froid. J'vais faire bouillir un peu d'eau pour réchauffer ses petits os, et je le jetterai dedans. Et après, civet de hamster pour tout le monde !
Minsc : Minsc sait que tu rigoles. Si Bouh était dans ton estomac, il pourrait oublier qu'il est un hamster de l'espace géant MINIATURE. Ho ho ! Tu rigolerais plus du tout après !

  Minsc/Sarevok
Minsc : Hé, " Sarevok ", si c'est ton vrai nom... tu te souviens de nos précédentes batailles ?
Sarevok : Où veux-tu en venir rôdeur ? Je me souviens très bien de toi.
Minsc : Je ne sais pas vraiment si tu es celui que tu dis être, et que tu es là à parler devant moi.
Sarevok : Et je devrais me sentir gêné que tu doutes de moi ? Non, si mon identité te pose un problème, laisse plutôt parler mes actes.
Minsc : Bouh est d'accord. Tu es le bienvenu parmi nous si tu promets de botter les fesses du Mal.
Sarevok : Tes recommandations sont inutiles. (Votre perso principal) dirige ma colère comme il le juge bon.
Minsc : Tu as bien choisi ton maître, mais je trouve quand même que tu fais pas très " Sarevok ". Tu es trop " humble ", pas assez " AAAARRRGH, tu vas sentir mon côté obscur ! "

  Nalia/Aérie
Nalia:
Aérie? As-tu gardé des souvenirs de ta ville natale?
Aérie: Faeny-Dael? Heu... un peu. Je me souviens surtout de ma mère. Et aussi que le cirque me manquait tellement que j'en avais mal au coeur. Je me souviens que les Avariels construisaient des maisons à ciel ouvert avec de grandes colonnes de marbre. C'étaient de véritables sculptures de verre qui brillaient de mille couleurs à la lumière du soleil.
Nalia: As-tu l'intention d'y retourner un jour?
Aérie: C'est... c'est une question très méchante. Comment pourrais-je?
Nalia: Rien ne t'en empêche, Aérie. Tu as de grands pouvoirs de mage et de clerc. Tu n'aurais aucun mal à retrouver ta ville aujourd'hui, et tu mérites leur respect, avec ou sans ailes.
Aérie: Ce n'est pas aussi simple, Nalia. Les Avariels... ne m'accepteraient jamais ainsi. Je ne suis plus une des leurs.
Nalia: Ils devraient t'accepter telle que tu es. Ce n'est pas juste. Tu as subi tant d'épreuves.
Aérie: Je... Je ne veux forcer personne. Ma place n'est plus là-bas. Elle est ici, sans mes ailes, et cela a été beaucoup plus douloureux à accepter.
Nalia: Je ne réagirais jamais comme toi... mais ce n'est pas mon peuple. Tant que tu es heureuse, Aérie...

  Nalia/Cernd
Nalia : J'ai une question de philosophie à te poser, Cernd. Si tu veux bien.
Cernd : Un défi, Nalia ? Mais certainement... Je n'ai rien contre les activités intellectuelles, mais je ne prétends pas avoir ton acuité en la matière.
Nalia : Ne t'inquiètes pas... c'est dans ton domaine. Je m'interrogeais simplement sur tes sentiments au sujet de la place de (Votre perso principal) dans la grande harmonie
Cernd : Ah. J'y ai moi-même beaucoup réfléchi, en fait.
Nalia : Et alors ? Quelles sont tes conclusions ? (Votre perso principal) menace-t-il l'harmonie, ou non ?
Cernd : Notre brave chef n'est peut-être pas mauvais, c'est vrai... mais i/ellel possède un potentiel de destruction considérable. L'harmonie pourrait être préservée... ou menacée... même sans qu'il/elle le sache. Mais il est trop tôt pour le dire.
Cernd : De toute manière, je dirais que son potentiel pour le chaos est beaucoup plus prononcé que je ne le souhaiterais. J'espère que nous pourrons l'influencer par notre présence... je le souhaite vraiment.
Cernd : Mais pourquoi cette question ? Qu'en penses-tu personnellement, Nalia ?
Nalia : J'ai quelques opinions sur la question, mais je préfère les garder pour moi, pour l'instant.
Cernd : Cela me semble injuste.
Nalia : Je ne voulais pas t'offenser, Cernd. Mais je te remercie de m'avoir donné ton avis.

  Nalia/Keldorn
Nalia : Keldorn, dis moi …tu es au service de l'ordre depuis longtemps. Penses tu vraiment que son œuvre est juste ? Que cela en vaut la peine ?
Keldorn : Bien sûr que je le pense. Je ne pourrais point servir si je n'avais pas la foi. Pourquoi cette question ?
Nalia : Tout cela… me semble si vain. Je ne veux point t'offenser, mais nous avons beau lutter pour terrasser le Mal, il reste toujours autant d'horreur dans le monde. Et cela ne s'arrange pas.
Keldorn : Oui. Et cela suffit quelquefois à épuiser notre âme, mon enfant. Penses-y.
Nalia : Et les actes les plus ignobles sont commis pas ceux qu'on ne considère pas comme mauvais. Les nobles et le clergé, par exemple… des injustices flagrantes contre des gens qui ne savent pas se défendre.
Keldorn : Cela est vrai. L'ordre fait ce qu'il peut, Nalia. Nous essayons. Et peut-être que le fait de continuer en refusant d'abandonner est aussi important que le bien que nous faisons.
Nalia : Je… tu as sûrement raison. Mais cela semble si vain, parfois. Comme si rien ne pouvait changer.
Keldorn : C'est l'impatience de ta jeunesse, Nalia. Les choses changeront, en leur temps. Mais seulement si des êtres de bonté, comme toi, ne désespèrent pas et n'abandonnent jamais. Le monde à besoin de ton courage.
Nalia : M-merci, Keldorn. Je crois que j'avais besoin d'entendre cela.

  Nalia/Minsc
Nalia : Minsc, je veux prendre le temps de te dire quelque chose.
Minsc : Bouh et moi, on a toujours le temps de parler à nos amis. Pas vrai, Bouh ?
Nalia : Heu, oui. Hé bien, je voulais te dire que ton combat incessant contre le Mal m'a beaucoup influencée.
Minsc : Et maintenant, tu voudrais bien un hamster, toi aussi.
Nalia : Quoi?
Minsc : Je disais ça comme ça.
Nalia : En fait, non. Je voulais que tu saches que je te remercie de m'avoir donné l'exemple… et je ne parle pas du hamster.
Minsc : Comme tu voudras, mais je peux pas imaginer un Minsc sans son Bouh. On est comme les deux doigts de la main, les deux pieds dans le même sabot, les deux articles pour le prix d'un… et les deux bottes dans les fesses du Mal !

  Nalia/Valygar
Nalia : Je sens ton regard glacial sur ma nuque Valygar. Est-ce que ma présence t'irrite toujours autant ?
Valygar : Je mentirais si je te disais que tu ne m'inquiètes pas, Nalia. Seule une poignée de mages dans les Royaumes connaît aussi bien que toi maintenant les arcanes de la magie.
Nalia : Je croyais que tu avais appris à laisser de côté les préjugés injustifiés contre les mages, Valygar. Je constate à regret que je me trompais.
Valygar : J'ai appris à accepter le fait que la magie puisse être utilisée pour le Bien ou le Mal, Nalia. Mais je n'ai pas abandonné ma croyance : un tel pouvoir peut corrompre un mage s'il ne reste pas constamment sur ses gardes.
Nalia : Je me connais bien, Valygar. La magie n'y pourra rien changer. Et je refuse de passer ma vie entière " constamment sur mes gardes " à cause de cette corruption que tu crois inévitable.
Valygar : C'est pour cette raison que je reste prudent. Je dois veiller contre la corruption dont tu refuses même de connaître l'éventualité
Nalia : Vois-tu des signes de cette corruption en moi? Alors, Valygar ?
Valygar : Nous devons tous deux prier pour que cela n'arrive jamais. Tu es libre d'agir à ta guise, Nalia. Mais mes yeux surveillent tout.

  Sarevok/Aérie (ou le méchant loup d'autrefois et un petit chaperon rouge d'aujourd'hui... Thanks to Colargol)
Sarevok : Mais que vois-je? Un oiseau sans ailes. Comme de bien entendu, tu as réussi à tomber dans notre groupe, impatiente de prouver ta valeur.
Aerie : J'ai déjà prouvé ma valeur. A tout le monde, aussi bien qu'à moi-même.
Sarevok : Tu parles avec vaillance. Mais je crois que tu ne comprends même pas ce que tu dis.
Aerie : Je… peu importe ce que tu penses. Je ne suis plus la petite elfe effrayée du cirque. J'en ai appris assez pour n'éprouver que de la pitié envers des monstres tels que toi.
Sarevok : De la pitié, vraiment? Tu devrais plutôt avoir peur, fillette. Si (votre perso principal) n'était pas ton compagnon et ton protecteur, tu ne pourrais rien faire contre moi.
Aerie : Tu peux penser ce que tu veux. C'est toi qui n'es rien devant mon dieu et ma foi. Baervan et Aerdrie Faenya te balayeraient comme un vulgaire tas de poussière.
Sarevok : Bah ! Ils viennent dès que tu les appelles pour protéger ta misérable vie, n'est-ce pas ?
Aerie : Ils me protègent. Mais (votre caractère principal) a pu te vaincre tout seul, et c'était il y a longtemps. Tu ne devrais pas en demander plus que tu ne peux en supporter.
Sarevok : Continue à penser ainsi fillette. Tu n'as aucune idée de ce qu'est vraiment le Mal.

 Sarevok/Edwin (merci à Legolas)
Sarevok : Que se passe-t-il, mage ? Tu ne manques pas une occasion de m'examiner, et j'aimerais bien savoir pourquoi !
Edwin : Je n'aime pas marcher aux côtés de l'ennemi. J'ai déjà du mal à supporter la présence de mes alliés, et, pourtant, me voici à tes côtés.
Sarevok : Ah, tu es donc un grand solitaire, prêt à affronter le monde tout seul. C'est insensé.
Edwin : Vraiment ? Tu es pourtant bien content de faire partie de notre groupe, comme moi.
Sarevok : J'ai accédé au pouvoir en choisissant soigneusement ceux que je suivais, et je me suis entouré de créatures de pouvoir. Ma tactique n'a pas changé, et elle finira par porter ses fruits.
Edwin : Eh bien, je suppose que je devrais être content d'en faire partie. J'ai hâte de participer à ta prochaine défaite.
Sarevok : Tu me rappelles mon passé, mage, lorsque je fus massacré et envoyé au fond de l'enfer. Penses-y avant de brûler les ponts.

  Sarevok/Jan
Sarevok : J'ai repensé, petit gnome, à un marché conclu par mon beau-père il y a plusieurs années.
Jan : Ton beau-père, hein? Est-ce qu'il était mégalomane, lui aussi? Ce devait être un sacré marchand. Il construisait des caisses peut-être ? Je ne vois que ça partout… ça doit bien rapporter.
Sarevok : Mon beau-père faisait partie du Trône de Fer. Je me souviens qu'il avait acheté des terres très bon marché à un gnome, le Comte de Navet.
Jan : Ah oui, je le connais. C'est un gnome très beau, sa mère tient à lui comme à la prunelle de ses yeux. Riche, débonnaire, adoré de tous… ton beau-père a eu beaucoup de chance de le rencontrer.
Sarevok : Je ne dirais pas la même chose. En fait de bonnes terres, le comte lui a vendu un marécage truffé d'ombres des roches et de gobelours. Mon beau-père a failli être radié du Trône de Fer à cause de cette histoire.
Jan : C'est vraiment tragique. Tss… On rencontre de ces escrocs, parfois… Même chez les gnomes. C'est terrible.
Sarevok : Je jure de me venger si je parviens à retrouver ce gnome.
Jan : Hé bien, hmmmm… heureusement pour lui que tu ne l'as pas retrouvé, hein ?
Sarevok : Sans aucun doute. Je lui ai gardé quelques tortures atroces pour cette occasion.
Jan : Heu… oui, oui. Hum ! Je vais retourner près de (Votre perso principal). Rien de personnel, mais il y a un sacré courant d'air ici.

  Sarevok/Korgan
Sarevok : Je vois que tu m'observe, nain. Veux-tu croiser le fer avec moi ?
Korgan : J'essaie juste de comprendre de quoi t'es vraiment fait, espèce de fantôme.
Sarevok : Vraiment? Et qu'en as-tu conclu, Korgan ? Suis-je ton allié ou ton ennemi ?
Korgan : T'es plutôt coriace pour la bagarre, mais quand je tue un monstre, j'veux être sûr qu'il soit mort. Et c'est le problème avec toi.
Sarevok : A moins que tu aies envie de me tuer dans mon sommeil, ce n'est pas ton problème, le nain.
Korgan : Ouais, j'suppose que t'as raison. Le problème, c'est pas vraiment ton retour bizarre dans le monde des vivants. Tant que ton épée est prête à frapper avec nous. Tu peux pas nous faire de mal.
Sarevok : Et je peux dire la même chose de toi. Bon, assez parlé, le nain.

  Valygar/Edwin
Valygar : Pourquoi ce regard, Edwin? Tu as quelque chose à me dire ?
Edwin : Ce n'est rien. Je m'interrogeais simplement sur le rôle de l'héritage dans le choix de la vocation.
Valygar : Je vois. Tu t'imagines que parce que ma famille a compté de nombreux mages, je devrais être un mage, moi aussi. Hé bien, je suis un défi vivant à cette logique, à chaque jour qui passe.
Edwin : Et tu es certainement parfait ainsi, mais cela est dommage. Même les gestes les plus banals trahissent un apprentissage quand tu étais enfant.
Valygar : Je ne suis pas un mage! Tu… tu te trompes.
Edwin : Oui. Bien sûr, je me trompe.

  Valygar/Haer'Dalis (Il y a de l'eau dans le gaz! Une contribution de Colargol.)
Valygar : Haer'Dalis ! Es-tu vraiment obligé de gratter ce maudit instrument sans arrêt ?
Haer'Dalis : Je dois rester accordé, messire, de crainte de jouer une fausse note.
Valygar : Dès que tu ouvres la bouche, barde, j'entends une fausse note.
Haer'Dalis : Une remarque cinglante venant du faucon noir ! Je suis surpris mon cher Valygar. Te serais-tu entraîné à parler avec les arbres ? Hélas, ils ne répondent pas, eux.
Valygar : Cesse tes aboiements, barde, et laisse-moi tranquille.
Haer'Dalis : " Aboiements " ? " Laisse " ? Me prendrais-tu pour un chien ? Ou ne sont-ce que des jeux de mots heureux, une lueur de sagesse sur les lèvres d'un imbécile ?
Valygar : Je vois que je t'ai très vite mis la puce à l'oreille…
Haer'Dalis : Pitié, je t'en supplie, ô maître des jeux de mots ! Ta vie solitaire n'a pas émoussé le piquant acéré de tes paroles agressives. Je vais me tenis à distance pour jouer, afin que tu n'entendes plus rien.
Valygar : Merci Haer'Dalis. Je n'en demandais pas plus.

  Valygar/Jan
Valygar : On dirait que tu as quelque chose à me dire, Jan. Pfff... tu ferais mieux de me le dire... plus tôt nous en aurons fini, mieux cela vaudra.
Jan : J'étais juste en train de penser à quel point tu me rappelle mon cousin Le Langueux. Quelle ironie, ce nom que lui ont donné ses parents, parce qu'il n'a jamais dit le moindre mot de toute sa vie. Il a attrapé la Goutte de la Langue de Téthyr en mangeant un navet mal lavé quand il était bébé. La langue de ce pauvre Langueux s'était ratatinée comme la bourse d'un honnête marchand amnien. Il est devenu un grand gaillard peu loquace... un peu comme toi Valygar.
Valygar : Ma langue est parfaitement normale, gnome. J'ai simplement choisi de ne pas la fatiguer avec un flot constant d'histoires sans intérêt.
Jan : Mes histoires ne sont pas sans intérêt ! Ou en étais-je ? Ah oui, Le Langueux. A la fin de sa maladie, sa langue n'était plus qu'un long morceau de chair. Mais Le Langueux voulait absolument apprendre à parler. Il faisait des exercices et des étirations tous les jours avec sa langue, et elle s'allongeait de plus en plus. Il paraît qu'il pouvait même crocheter des serrures avec, mais je n'ai jamais eu le privilège d'assister à cet exploit. Quand il est devenu un jeune homme, sa langue mesurait deux mètres et il pouvait la faire tournoyer comme une danseuse calimshite.
Jan : Mais il a connu une fin tragique, hélas. Le Langueux ne payait pas de mine, tu sais, et il ne pouvait pas prononcer un seul mot avec sa langue démesurée. Mais pour une raison inexpliquée, les femmes l'adoraient. C'est d'ailleurs ce qui l'a perdu. Nomis Doigtonnerre, un forgeron très grand et très jaloux, a surpris un jour mon infortuné cousin avec madame Doigtonnerre, dans une position compromettante. Nomis a plongé la main dans la bouche du Langueux, il a tiré sa langue, l'a enroulée autour de son cou et l'a étranglé avec. Etranglé par sa propre langue, c'est incroyable non ?
Valygar : Que veux-tu que je te dise après une histoire aussi ridicule ?
Jan : Mais rien ! C'est pour ça que tu me rappelles Le Langueux - tu ne parles presque jamais.
Valygar : Grr... excuse-moi, Jan, mais je dois... heu, je dois... je dois te laisser maintenant.

  Viconia/Imoen (Retour à l'envoyeuse... Grâce à Legolas)
Viconia: Une chose m'intrigue Imoen. L'enfant de Bhaal qui nous guide t'a arrachée a la prison , t'a sauvé la vie à maintes reprises mais tu ne lui as jamais montré de vraie gratitude.
Imoen: Une vraie gratitude ... je n'ose pas m'imaginer ce que pourrait etre ton idée d'une vraie gratitude!
Viconia:C'est simple (votre perso principal) t'ayant sauvée, tu devrait te comporter comme son esclave personnelle et satisfaire le moindre de ses désirs
Imoen: Non!... (votre perso principal) est mon demi-frère/ma demi-soeur et je l'aime plus qu'un frère/soeur. Mais je n'irai pas jusque là ... du moins je ne crois pas.
Imoen: Mais toi, Viconia (votre perso principal) t'a sauvé la vie a maintes reprises. Pourquoi ne lui manifestes-tu pas de "vraie gratitude" ?
Viconia:...Euh... la question n'est pas là. Ell cagrless! (c'est de l'elfe noir) je soutiens (votre perso principal) comme je l'ai toujours fait. Mais assez palabré. En route !

  Viconia/Jan (Un grand merci à "J.R.R Tolkien")
Viconia: Jan, je serais tentée de laisser la situation évoluer d'elle-même, mais il vaut peut-être mieux que je te prévienne tout de suite.
Jan: Ouiiii, ma petite marguerite bronzée? Tu veux me prévenir de quoi?
Viconia: Il y a une araignée venimeuse sur ton cou.Une créature exquise connue pour son poison innervant qui provoque une mort atroce.
Jan: Tu sais, ça me rappelle l'époque où mon oncle Le Rèche m'a assomé avec la poignée d'un fléau de cavalier. "Regarde derrière toi", qu'il m'a dit. "Pourquoi? Qu'est-ce qu'il y a derrière moi?", que j'ai répondu."Un scarabé de purin tibérien!", qu'il a crié comme un fou. Alors, bien sûr, j'ai hurlé de terreur et j'ai regardé derrière moi... et j'ai laisser tomber un sac des plus beaux navets jamais récoltés à Scornubel. La mère Jansen était furieuse et ma bosse m'a fait encore plus mal que si j'avais attrapé la grattouille calimshite pendant 6 semaines.
Viconia: Oh, regarde! Elle descend sous ta chemise, dans ton dos.
Jan: Et puis il y a aussi la fois où j'ai mis la parole d'un elfe noir en doute. "Bifflechips", que je lui ai dit, "tu ferais mieux de me dire la vérité." Et bien sûr, il m'a juré par tous les saints que c'est ce qu'il faisait. Inutile de te dire qu'un mois plus tard, je croupissais au fond du ventre d'un ver des cavernes, et que je ne rigolais plus de tout. Je ne serais plus là aujourd'hui si les gnomes n'avaient pas la réputation de provoquer de brusques rafales de gaz intestinaux.
Viconia: A ta place, je ne me tortillerais pas comme ça, jaluk. Tu risques de l'énerver, et je ne connais aucun sort capable de neutraliser ce poison.
Jan: Si je gagnais une pièce de cuivre à chaque fois que... hé, attends un peu. Je sens quelque chose... qui est derrière moi? Qu'est-ce qu'il y a dans mon dos?
Viconia: Je te l'ai dit, non? Elle doit être en train de plonger ses crocs dans ta chair, en ce moment.
Jan: Quoi? Mais je... aïe! AHHH, NOOON! JE SUIS UN GNOME TROP JEUNE POUR MOURIR! AHHHH! A L'AIDE QUELQU'UN! UN ANTIDOTE, UN ANTIDOTE! LA DOULEUR ME FAIT PETER! AHHHH!
JE NE VEUX PAS... hein? Attends un peu, c'est une mouche. Une mouche morte. Tu m'as fait arracher ma chemise pour rien?
Viconia: Ha ha ha! La vie apporte parfois son lot de récompenses. Même pour les elfes noirs.
Tu es vraiment cruelle, Viconia. Que Garl me vienne en aide, je suis complètement retourné, maintenant...
Viconia: Très bien, je te laisse.

  Viconia/Keldorn (Ca va mal! )
Keldorn:C'en est fini elfe noire ! Je vous aurais prévenue!
Viconia:Quelle noblesse...et quelle folie !
Il semblerait qu'une bagarre musclée s'ensuit, mais Legolas ne nous dit pas comment cela finit.

  Viconia/Korgan (Mademoiselle a des vapeurs)
Viconia : Par la grâce de Shar, quelle est cette puanteur ? Gasp... Korgan, pourrais-tu avoir la décence de ne pas rester sous le vent ?
Korgan : Quand je m'arrange pour qu'un elfe noir ne puisse pas me sentir arriver, c'est que je vais ajouter ses oreilles à ma collection... Mais t'inquiète pas sorcière, tu perds rien pour attendre.
Viconia : Lance tes vaines menaces à quelqu'un d'autre, hargluk. Je tolère ta présence pour les mêmes raisons que ma race tolère la tienne dans Ombreterre... tu es un serviteur utile. Mais il est facile de remplacer un serviteur,
Korgan : Tu crois que tes pouvoirs de guérisseuse te rendent indispensable, elfe noire ? J'me demande si tu pourrais revenir de chez les morts si j'te tranchais la gorge ?
Viconia : Pourquoi ne l'as tu pas déjà fait, Korgan ? Comme tous ceux de ta race, tu n'as pas le courage d'agir, car tu as peur des conséquences de l'échec. C'est pour cela que les elfes noirs font de vous leurs esclaves... Ah... le vent a tourné . Je n'ai plus de raisons de poursuivre cette discussion, nain.
Korgan : C'est pas fini, ma belle !
Viconia : Mais si, Korgan... c'est fini.

  Viconia/Haer'Dalis ou comment le barde s'en sort
Viconia : Je sens tes yeux posés sur moi, tieffelin. Vois-tu quelque chose que tu désires ?
Haer'Dalis : Ah, Viconia, mon obscur joyau… je ne faisais qu'admirer ta grâce naturelle, ta beauté fascinante et ta voix exotique. Tu aurais pu faire une belle carrière d'actrice.
Viconia : Sans aucun doute, barde à la langue si douce. Pourtnat, j'ai choisi de mettre mes talents au service d'une cause plus grande.
Haer'Dalis : Vraiment ? Quelle cause plus noble que de solliciter l'approbation du public ?
Viconia : Dans la société des elfes noirs, nous n'avons pas besoin du théâtre. Nous agissons pour améliorer notre condition. Une mauvaise prestation ne se termine pas dans les huéeset les sifflets, mais pas une mort lente et pénible.
Haer'Dalis : Pas besoin du théâtre ? Excuse le vol de ton moineau blessé, mais je dois m'abriter derrière l'immense peine que provoque dans mon cœur l'idée d'un monde aussi dur et inconcevable.

  Viconia/Sarevok (Viconia et l'expérimentation! C'est de l'art ou du cochon?)
Viconia : Sarevok, puis-je te parler discrètement ?
Sarevok : Oui, elfe noire ? Que veux-tu ?
Viconia : Les coutumes de mon pays me manquent, comme la formation de nouveaux esclaves au plaisir. Les plus grands et les plus forts étaient les plus difficiles à asservir, mais c'était les plus intéressants. Sarevok, ta grande taille m'intrigue beaucoup...
Sarevok : Si tu m'asservissais, Viconia, tu ne trouverais rien que le vide glacé d'une tombe.
Viconia : Cela ne me dégoûte pas autant que tu crois. Nous autres elfes noirs, nous aimons beaucoup élargir notre... champ d'expérience.
Sarevok : J'ai mené une guerre pour massacrer des milliers de gens. J'ai senti l'étreinte glacée de la mort. J'ai été témoin des horreurs des Abysses. Mais toi, Viconia... tu me fais peur.
Viconia : Il n'y a que des lâches partout ! Si tu en trouves le courage, Sarevok, viens me trouver.

 

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